Philopsophie politique

Cécile, habitante du quartier et présidente de la Salle Saint Bruno, partage les articles suivants.

« Coronavirus, un saut de l’ange existentiel et politique »
Après le constat de la mise à l’arrêt finalement (!) possible de nos productions,l’auteur pose le constat des inégalités révélées par le contexte, et des questions comme « à quoi tenons-nous collectivement ? »,« pourrait-on aussi se saisir de l’occasion pour se libérer de tout ce qui nous confine dans nos vies minuscules et étriquées », de quoi questionner nos valeurs, celles dominantes, le sens de nos vies et de la société. Soigner, réparer, bricoler, cultiver, l’auteur poursuit par des propositions dont certaines appellent à festoyer. Il termine par une critique du néolibéralisme et s’inquiète de méga pouvoir en place et de menace xénophobe qui trouvent lamentablement satisfaction en ce moment. Mais,conclue t-il optimiste « nous sommes nombreux » !
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« La démocratie à l’épreuve du coronavirus »
Une interpellation avec une étrange comparaison de notre système démocratique avec les systèmes plus autoritaires. Néanmoins, l’auteur s’en défends dans les commentaires et permet de nous interroger sur ce que nous sommes prêt·es à accepter dans la situation, sur les termes de démocratie au sens de pouvoir du peuple et des rapports de domination à l’œuvre.
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« J’espère que cette crise va servir à révéler combien la science est une chose plus complexe qu’on veut le croire. C’est une réalité humaine qui, comme la démocratie, repose sur les débats d’idées ».
Depuis sa maison à Montpellier, le philosophe Edgar Morin reste fidèle à sa vision globale de la société. La crise épidémique, nous dit-il, doit nous apprendre à mieux comprendre la science et à vivre avec l’incertitude. Et à retrouver une forme d’humanisme.
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Bernard, habitant et militant associatif, nous invite à découvrir :

Le rôle clé des associations, pendant et après la crise.
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