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Le 27 avril, Laetitia Fernandez, journaliste, a animé un atelier " revue de presse" au café social. L’ occasion pour chacun et chacune d ’exprimer son point de vue et de parler de ce qui lui tient à coeur. Ce jour là, les discussions ont été passionnées. A propos d ’un film, le Challat de Tunis et à propos de l’immigration.
Les femmes avaient été voir au cinéma le film Le Challat de Tunis de la réalisatrice tunisienne Kaouther Ben Hania : l’ histoire d ’un fait divers qui a terrorisé Tunis en 2003, un homme en moto balafrait les fesses des femmes qu’il jugeait trop provocantes . Certaine femmes qui ont vu le film ont dit approuver l’action du challat, trouvant même cela "normal", alors que d’autres se sont dit choquées. Il a été aussi question de l’ invention d ’un mystérieux appareil : le "virginomètre"...
Elles ont ensuite évoqué les tragédies des migrants en mer et donné leur avis sur l’ immigration.
Ces rencontres ont lieu deux fois par mois au café social, le lundi à 15 h.
Le 27 avril, Laetitia Fernandez, journaliste, a animé un atelier " revue de presse" au café social. L’ occasion pour chacun et chacune d ’exprimer son point de vue et de parler de ce qui lui tient à coeur. Ce jour là, les discussions ont été passionnées. A propos d ’un film, le Challat de Tunis et à propos de l’immigration.
Les femmes avaient été voir au cinéma le film Le Challat de Tunis de la réalisatrice tunisienne Kaouther Ben Hania : l’ histoire d ’un fait divers qui a terrorisé Tunis en 2003, un homme en moto balafrait les fesses des femmes qu’il jugeait trop provocantes . Certaine femmes qui ont vu le film ont dit approuver l’action du challat, trouvant même cela "normal", alors que d’autres se sont dit choquées. Il a été aussi question de l’ invention d ’un mystérieux appareil : le "virginomètre"...
Elles ont ensuite évoqué les tragédies des migrants en mer et donné leur avis sur l’ immigration.
Ces rencontres ont lieu deux fois par mois au café social, le lundi à 15 h.