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Les jeunes de la Salle réagissent aux attentats de Paris

Publié le 30 novembre 2015 -

Ce mercredi, l’heure est aux hommages, à la révolte, aux réflexions et parfois à la peur pour les jeunes de la Goutte d’Or. Ce mercredi, ils se sont assis autour d’un micro pour exprimer leurs sentiments après le choc des attentats du vendredi 13 novembre 2015 à Paris.

Ils s’appellent Ismaël, Kadidia, Samy, Fatoumata (alias Famous) et Ali. Ils ont entre 15 et 19 ans. Et comme des milliers de jeunes Parisiens et Français, ils sont encore abasourdis d’avoir été témoins de l’horreur qui a frappé leur ville. Eux, ils auraient pu passer devant le Bataclan ou les cafés des 10e et 11e arrondissements de Paris, car ils aiment se retrouver autour de la Place de la République.

« Rester solidaires, coûte que coûte »
Vendredi 13 novembre aux alentours de 21h30, ils regardaient la télé, le match de foot, étaient entre amis, quand soudain, les images des chaînes d’info en continu leur ont sauté à la figure. La proximité des événements et le fait que des amis pouvaient être de sortie dans les 10e et 11e arrondissements ont provoqué chez eux la peur. Comment ont-ils réagi ? Quels étaient les premiers sentiments qui leur ont traversé l’esprit.

« On avait tous peur »
Après le choc, vient le moment de faire les comptes, de regarder autour de soi. Est-ce que le week-end prochain, on continuera à vivre de la même façon ? À quoi ressemble notre ville au lendemain de ces attaques ? Les jeunes racontent leurs impressions sur l’ambiance qui règne dans les rues et les transports en commun.

« Quand ça se passe en France, on se sent concernés »
Dans ces moments, on cherche des réponses politiques ou sociales à tout ça. Et les jeunes ont écouté d’une oreille particulièrement attentivement les informations à la télévision ou sur les réseaux sociaux. Avec plus ou moins de justesse, chacun essaye de formuler des hypothèses sur Daesh, la Syrie, François Hollande, etc.

« Ne pas confondre terrorisme et musulmans »
Mais ce qui les préoccupe le plus, ce sont ces terroristes qui peuvent s’en prendre à n’importe qui. Tout le monde est égal face à cette menace et il est important de rester unis et ne pas commettre d’amalgames entre les terroristes et les personnes de confession musulmane. Voici le genre de messages que les jeunes présents ce soir là ont tenu à faire passer.

Ce mercredi, l’heure est aux hommages, à la révolte, aux réflexions et parfois à la peur pour les jeunes de la Goutte d’Or. Ce mercredi, ils se sont assis autour d’un micro pour exprimer leurs sentiments après le choc des attentats du vendredi 13 novembre 2015 à Paris.

Ils s’appellent Ismaël, Kadidia, Samy, Fatoumata (alias Famous) et Ali. Ils ont entre 15 et 19 ans. Et comme des milliers de jeunes Parisiens et Français, ils sont encore abasourdis d’avoir été témoins de l’horreur qui a frappé leur ville. Eux, ils auraient pu passer devant le Bataclan ou les cafés des 10e et 11e arrondissements de Paris, car ils aiment se retrouver autour de la Place de la République.

« Rester solidaires, coûte que coûte »

Vendredi 13 novembre aux alentours de 21h30, ils regardaient la télé, le match de foot, étaient entre amis, quand soudain, les images des chaînes d’info en continu leur ont sauté à la figure. La proximité des événements et le fait que des amis pouvaient être de sortie dans les 10e et 11e arrondissements ont provoqué chez eux la peur. Comment ont-ils réagi ? Quels étaient les premiers sentiments qui leur ont traversé l’esprit.

« On avait tous peur »

Après le choc, vient le moment de faire les comptes, de regarder autour de soi. Est-ce que le week-end prochain, on continuera à vivre de la même façon ? À quoi ressemble notre ville au lendemain de ces attaques ? Les jeunes racontent leurs impressions sur l’ambiance qui règne dans les rues et les transports en commun.

« Quand ça se passe en France, on se sent concernés »

Dans ces moments, on cherche des réponses politiques ou sociales à tout ça. Et les jeunes ont écouté d’une oreille particulièrement attentivement les informations à la télévision ou sur les réseaux sociaux. Avec plus ou moins de justesse, chacun essaye de formuler des hypothèses sur Daesh, la Syrie, François Hollande, etc.

« Ne pas confondre terrorisme et musulmans »

Mais ce qui les préoccupe le plus, ce sont ces terroristes qui peuvent s’en prendre à n’importe qui. Tout le monde est égal face à cette menace et il est important de rester unis et ne pas commettre d’amalgames entre les terroristes et les personnes de confession musulmane. Voici le genre de messages que les jeunes présents ce soir là ont tenu à faire passer.

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